Don Fabulist propose des spectacles de contes issus du patrimoine universel : récits, poésies et ballades. Il organise souvent ces séances de sous un titre générique, ce qui lui donnera la liberté de choisir ses histoires au moment de la présentation et d’adapter ses récits aux lieux et à son public ( enfants, adolescents, adultes ou tout public…).
Dans sa démarche, le respect de la tradition reste sa clé de voûte. Il conte dans les écoles, dans des bibliothèques, dans des salles et en plein air. Il adore conter lors des festivals, comme celui des Arts du Récit en Isère (France). Le festival donne l’occasion à Don Fabulist de faire découvrir les différentes facettes de son univers.
Pour les jeunes (enfants ou jeunes ados)
Il s’agit de contes du monde entier, de contes de fées, de fables, de légendes et de mythes. Il a pour une jeune audience plusieurs programmes plus spécifiques, comme par exemple :
- ‘Les histoires du ciel, de la terre et du souterrain’ (à partir de 7 ans)
- ‘la Première Guerre Mondiale’ (à partir de 7 ans)
- ‘Sur des sorciers et des sortilèges’ (spectacle constellé de grandes légendes du moyen âge, comme ‘Le joueur de flûte de Hamelin’ (à partir de 10 ans)
- ‘Les Amazones, premières guerrières à cheval’ (à partir de 12 ans)
Pour les adultes (à partir de 16 ans)
Il travaille également avec différents récits sous un titre générique. Contrairement aux spectacles pour enfants et jeunes ados, les contes pour adultes sont souvent plus riche en poésie et en chants (ballades).
De par son improbable langage, Don Fabulist laisse planer le secret de ses origines. Il s’exprime avec bonheur en ‘Bric-à-Brac’, un mélange de français et de langues désuètes (argotiques, Bargoens), illustrées de façon non-verbale. Plutôt que de s’égarer dans un langage intellectualisé, l’auditeur trouve dans les spectacles de Don Fabulist l’âme profonde du récit et de la poésie.
Ses spectacles pour adultes sont en général, mis à part les vieux contes comme de Giambattista Basile, enracinés dans de vieilles légendes comme par exemple Sire Halewyn. Dans les contes traditionnels, il touche l’univers de Guillaume Apollinaire, du Comte de Lautréamont, de François Villon, de Charles Baudelaire et d’Antonin Artaud (pour donner corps au Juif Errant par exemple).
Il lui arrive aussi de conter ses propres récits, souvent inspirés et nourris par les sciences occultes, comme le décrit Madame Héléna Pétrovna Blavatsky.
Il approche ainsi les mythes et les mystères comme, pour ne pas le citer, le pays englouti de l’Atlantide.